Corinne fût rencontrée en 2010, à Alençon, lors d’une rencontre photographique professionnelle, puis à Nogent lors de l’exposition Balt’Art en 2011. Son travail m’a tout de suite séduit au point que je n’ai pu m’empêcher d’acquérir à ce moment là une de ses œuvres ! Son travail était au départ réalisé sur Polaroïd. Aujourd’hui, avec la disparition de la marque, elle a du expérimenter de nouvelles méthodes, principalement numériques, afin de garder ce style très onirique qui la caractérise... Un conseil : visitez sa galerie personnelle sur le Net et faites un beau voyage !
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Regroupant depuis 1999, sous l’impulsion du SNAPIG, les différents secteurs de l’image (Agences photographiques, éditeurs, presse, documentaristes…), l’observatoire de l’Image à pour objectif de dénoncer les contraintes et pratiques abusives qui pèsent en matière d’illustration et de sensibiliser sur les questions liée au droit à l’image… En effet, « la judiciarisassions de la société est un vaste sujet sociologique et notre secteur de l'image n'a pas été épargné ». L’observatoire de l’image est un centre d’échange d’idées, de concertation et de propositions, destiné à faire que change les mentalités. Il diffuse régulièrement pour cela une lettre d’information juridique et organise annuellement un colloque. En ce début 2010, il vient de publier un livre récapitulatif. Vous pouvez l’obtenir sur simple demande au service juridique du SNE dmoinet@sne.fr <mailto:dmoinet@sne.fr> dans la limite des stocks disponibles ; en cas de rupture, vous aurez la possibilité de le consulter sur le site web du Syndicat national de l’édition.
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Pour bon nombre de créateurs, peut-être un nouveau courant de pensée. Ecoutons : « Elle signifie seulement que sa pierre d’achoppement, ou ce qui fait  exister une œuvre comme telle, réside en cette seule question : peut-elle être objet de plaisir esthétique? Ou autrement dit : une œuvre pour être reconnue comme telle, doit nécessairement être conçue et perçue comme objet de satisfaction esthétique. Face à elle nous sommes sur le terrain du jugement esthétique. Face à la « non œuvre » , nous n’y sommes plus. » 0u encore : « L'artiste qui partage ces valeurs communes ne peut pas se contenter de se cacher derrière un débat intellectuel, un discours politique ou un débat sociologique, pour omettre de travailler sur les formes et donner de l'émotion esthétique. Son engagement dans l'art participe aussi de la révolte contre la misère et laideur du monde. » Une réflexion intéressante à lire !… Le site de l’association de « la Peau de l’Ours », crée en avril 2006, avec l’opportunité, pour chaque Artiste et amateur d’Art,  de « participez aux débats et chantiers autour de l'art contemporain ». L’effet « ours blanc » rafraîchissant est garanti !… Mais tout reste à faire !
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L’association Oscura nous projette dans un monde irréel, fabriqué à partir d’une boite (la caméra obscura) et d’un petit trou (le sténopé) !… Vous ne pourrez pas vous échapper ! Histoire, technique, projets, images : tout y est.
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